Entrainements de nuit.

Haëril qui n'aimait pas la solitude vint noyer ses pensées dans le combat. Il était désormais seul pour 1mois puisque Lëya était parti. Il arriva sur le lieu où l'on pouvait s'entrainer avec son sabre, celui qu'il tenait de son père adoptif qui était pour lui son vrai père. Il commença à éxecuter des coups dans le vide pour perfectioner sa technique de combat puis il tapa ensuite sur un mannequin de bois entreposé là...

Durant quelques heures il ne fit que ça jusqu'à épuisement total.
Ensuite il rengaina et repartit en direction de sa tente en ne pensant plus à rien, il avait le regard vide.

Haëril arrivait de sa tente le Sabre de son Père sur l'épaule droite. Il avait mit un linge autour de son genoux pour pouvoir marcehr à son aise le temps que la blessure se referme complêtement. Il s'avança vers le mannequin en bois et envoya des frappes enragées dessus, les coups devenaient de plus en plus puissants, de plus en plus rapides. Le regard d'Haëril portait de la haine en lui et s'était sans doute pour ça qu'il voulait se defouler sur le mannequin, pour degager la haine qu'il avait en lui. Haëril exécuta les coups sur le mannequin durant de nombreuses minutes, après ça il se tourna vers une surface vide et commença à éxecuter des cops pour amiliorer sa technique et sa vitesse de frappe.

Haëril aiamait bien s'entrainer de la sorte, il trouvait qu'il s'amiliorait.
Après s'être depenser et avoir evacuer sa rage il rangea le sabre à sa taille et partit de la Clairière.

Avant de quitter le campement à la recherche de nouveaux démons,Tenzin fit un détour par la clairière.Il regarda le mannequin en mauvais état suite aux coups d'Haëril.Il haussa les épaules,et se contenta de graver au niveau de la tête du mannequin un visage moqueur,tirant vilainement la langue,à l'aide de son sabre.

Satisfait,il rebroussa chemin.Son sabre encore en main,il décapita un pauvre mannequin en paille qui avait eu le malheur d'avoir été placé trop près de la sortie de la clairière.

» La nuit autour du feu.
» Cebrail: Le jour Général, la nuit esclave